Quand la psychose fait dérailler le monde
Statistiques contre psychose
Pourquoi tant d’émotions ?
Face à la dictature de l’émotion, les statistiques permettent un constat plus raisonnable quant à la gravité de la pandémie. En France la COVID 19 a tué environ trente mille personnes.
Nous sommes donc bien loin de la peste, du choléra, des hécatombes de la variole ou de la tuberculose, d’Ebola, sans oublier la grippe espagnole (400 mille de décès en Ftrance) ou encore les vingt-cinq mille personnes mortes de faim chaque jour.
Sur ces sujets, les échos des gazettes ne se sont pas répercutées jusque dans nos montagnes.
En leur temps les grippes asiatiques (1956 - 1958) ou celles de Hong Kong (1968 - 1969) n’ont pas soulevé de par le monde d’émotions collectives particulières.
En 2016, l’économie mondiale ne s’est pas arrêtée face aux trois millions de victimes de bronco-pneumopathie obstructive, pas plus pour les deux millions et demi de décès causés par une infection respiratoire due à la pollution.
Alors pourquoi tant d"émotions entretenues autour de la COVID ?
Pourquoi maintenant ?
D’autant plus que peu ou prou, les causes principales de la mortalité restent les mêmes que les années précédentes : la route, le coeur, SIDA, hépatites, etc.
Les vrais dangers de notre 21ème siècle restent le sucre, le sel, les acides gras, les drogues, la pollution.
Et pourtant, l’Etat, si soucieux et autoritaire face à la COVID, ne songe pas le moins du monde à faire porter notre politique de santé, à grands renforts médiatiques quotidiens, vers la diminution, voire l’élimination, des effets de ces tueurs.
Stratégie du choc ?
Pour moi, ce n’est pas complotiste que de se demander "quelle stratégie" y a-t-il derrière cette volonté autoritaire de nous museler et nous confiner ?
Chaque année, à Davos, les grands de ce monde nous montrent qu’ils s’organisent pour faire perdurer leur domination sur le monde : au programme 2021, "the great reset".
D’accord, Davos, c’est loin de nos préoccupations quotidiennes ; cependant n’est-il pas temps pour un sursaut, là ici et maintenant, en tentant de construire ensemble un contre-pouvoir à ce rouleau compresseur libéral qui cherche à nous écraser ?